Déclaration solennelle du 24 mars 2020

STOP à la tyrannie sanitaire !

STOP à la tyrannie sanitaire et au déclin de la France !

Déclaration solennelle du 24 mars 2020

Chers Français et chères Françaises,  
Mes chers compatriotes de Corse et d'Outre-mer, 
Chers élus de France,

La devise républicaine "Liberté, Egalité, Fraternité" est la devise nationale de la France depuis 1848. Or depuis le 17 mars 2020, cette devise est bafouée au nom du COVIDISME. Avec l'avènement de l'Etat d'Urgence Sanitaire, la liberté est restreinte, l'égalité rompue, la fraternité inexistante. La France est entrée sous le joug d'une authentique tyrannie sanitaire que nous devons dénoncer : nous ne pouvons plus nous taire.

Le COVID-19, comme chacun le sait, est un virus grippal d'origine chinoise qui se manifeste par une toux, une fièvre et se guérit dans 99% des casLa vitamine D, la vitamine C, le Zinc et la vaccination par le B.C.G - obligatoire pour l'entrée des enfants français à l'école - protègent de la contagion. En cas de difficultés respiratoires aiguës, le protocole médical à base de l'hydro-xychloroquine associé à l'azithromycine préconisé par le professeur Didier RAOULT, infectiologue de renommée mondiale, a prouvé son efficacité. Pour rappel, le COVID 19 est apparu sur le marché humide de Wuhan - réputé pour son hygiène déplorable -  le 1er décembre 2019. Ce virus a été transmis à l'homme via la consommation de chauve-souris, les Chinois croyant de manière superstitieuse que la consommation des chauve-souris améliore leurs prouesses sexuelles alors qu'elle transmet des maladies mortelles. Face à l'épidémie, le Régime Communiste Chinois (PCC) a imposé à la population de Wuhan un protocole médical inédit - le confinement généralisé - et vanté aux Occidentaux les atouts du CONFINEMENT.  Au lieu de stopper immédiatement les relations touristiques, industrielles et commerciales avec la Chine communiste, le gouvernement d'Edouard PHILIPPE a continué à accueillir des milliers de chinois sur le sol français. Or le monde doit à la Chine depuis le 14ème siècle 2 pandémies de peste, 4 pandémies de grippe et 2 épidémies de coronavirus. La fermeture des marchés humides, l'interdiction de consommer des animaux sauvages et un respect strict des règles d'hygiène sont les seules solutions pour éviter une nouvelle épidémie émanant de la Chine.

Or, les décisions prises par le gouvernement d'Edouard PHILIPPE face à ce virus, ont été indignes et abusives. Le 14 mars 2020, Olivier VERAN, Ministre des Solidarités et de la Santé (Ex-Socialiste), cédant à la Déclaration alarmiste de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) en date du 30 janvier 2020 déclarant que le COVID-19 était contagieux et mortel, a émis un arrêté ministériel portant diverses mesures relatives à la propagation du coronavirus chinois. S'inspirant de la Chine, il a décidé d'imposer au peuple français un confinement généralisé sur le modèle du régime communiste chinois. Le confinement généralisé de personnes bien portantes, au nom d'un égalitarisme injustifié, a été assorti de la création d'un régime dictatorial de restriction des libertés individuelles et collectives appelé "Etat d'Urgence Sanitaire" qui légalise une forme de tyrannie sanitaire. Il est vrai que la grippe saisonnière n'a causé en France que 72 morts entre le 1er novembre 2019 et le 1er mars 2020 et qu'il fallait bien inventer un nouveau virus grippal pour terroriser la population française, vendre des millions de masques et de vaccins et satisfaire la cupidité insatiable du Lobby pharmaceutique. Pour rappel, le gouvernement français dépense chaque année 463 milliards d'euros pour la santé (203 milliards pour les soins et les biens médicaux + 260 milliards d'euros pour les soins de longue durée, les indemnités journalières payées par la Sécurité Sociale et la recherche médicale), soit une Dépense Courante de Santé (DCS) qui pèse 11,3% du PIB français. Bien que le Budget de Santé Publique de la France soit le plus élevé de l'Union européenne, le Ministre de la Santé a invité les Français à faire des dons à l'hôpital et à rejoindre les nouvelles "brigades sanitaires". Où passe l'argent des contribuables français ? 

Paradoxalement, tous les Français ont accepté la servitude de ce confinement total avec une docilité inédite. Derrière de subtiles manipulations langagières ("c'est pour votre bien !") destinées à créer un choc traumatique collectif, le gouvernement d'Edouard PHILIPPE a mis en place une comptabilité mortifère répétée quotidiennement sur toutes les chaînes de TV et de radio à 20h par Jérome SALOMON, Directeur Général de la Santé indiquant le nombre de morts, le nombre d'hospitalisés, le nombre de cas-contacts infectés par le COVID 19, ce qui a renforcé la peur, en particulier des familles et des personnes âgées. Ni pour la grippe, ni pour le cancer, ni pour les accidentés de la route, aucun gouvernement français n'avait opté, depuis la création de la 5ème République en 1958, pour ce choix anxiogène de communication de crise. Tétanisés par la peur, traumatisés par l'effet des injonctions paradoxales et accablés par une propagande mortifère, les Français et les Françaises se sont reclus chez eux, apeurés, acceptant télétravail, sédentarité, distanciation sociale et port du masque. Jamais la propagande médiatique n'avait atteint une telle intensité en France. 24h/24 et 7j/7, cette propagande a réussi à convaincre les Français et les Françaises de la dangerosité mortelle du COVID-19, ce qui est totalement mensonger. S'appuyant sur les modélisations mensongères du Conseil Scientifique créé le 12 mars 2020 (et qui annonçait 400 000 morts en France !?),  le Ministre de l'Education Nationale, Monsieur BLANQUER, a ordonné la déscolarisation immédiate de 12 millions d'élèves, fermé les crèches, les écoles, les collèges, les lycées, les universités et mis en télé-enseignement l'ensemble des élèves et des professeurs, amplifiant la démoralisation de la jeunesse et le décrochage de milliers de lycéens et d'étudiants. Il a imposé le tout-écran aux enfants dès 3 ans. Il a annoncé reporter tous les examens et tous les concours. En violation de l'égalité scolaire, seuls les enfants des personnels de santé et de police ont pu bénéficier d'un accueil "garderie" à l'école... avec le port obligatoire du masque. 

Le gouvernement d'Edouard PHILIPPE a ensuite ordonné le 14 mars 2020 à minuit la fermeture de tous les lieux publics jugés "non essentiels" (au nom de quel critère, tout le monde l'ignore): librairies, bibliothèques, médiathèques, musées, théâtres, opéras, cinémas, discothèques, fleuristes, salons de coiffure et d'esthétique, ongleries, magasins de bricolage, restaurants, bars, brasseries, salles de danse, de jeux, de spectacle, boutiques de vêtements, pressings ...organisant délibérément leur faillite malgré des aides étatiques importantes. La Ministre des Sports Roxana MARACINEANU a ordonné l'annulation de tous les événements sportifs (Roland Garros, Tour de France, Ligue des Champions...), la fermeture de toutes les piscines, centres nautiques, patinoires et mis la pression sur le CIO pour faire annuler les Jeux Olympiques d'été qui devaient démarrer au Japon le 24 juillet 2020 privant les 206 délégations et les 11 000 sportifs olympiques de compétition.  Le Ministre de la Culture Franck RIESTER a exigé l'arrêt du chantier de restauration de Notre-Dame de Paris et fait annuler toutes les festivals d'été (Festival d'Avignon, Eurockéennes à Belfort, Art Rock à Saint-Brieuc...),  contraignant au chômage artistes, musiciens, intermittents du spectacle et de la restauration (les privant ainsi de tout revenu). La Ministre du Travail Muriel PENICAUD a ordonné la mise au chômage technique de 13 millions de salariés français (soit 45% de la population active) et imposé le télétravail à plusieurs millions de salariés. Gérald DARMANIN, Ministre de l'Action et des Comptes Publics, a mis en télétravail des millions de fonctionnaires et imposé le port généralisé du masque dans toutes les administrations. Or peu de salariés et fonctionnaires disposent d'un bureau à domicile et peinent à concilier télétravail et tutorat professoral. D'ailleurs, 70% de l'activité économique française est inadaptée au télétravail (BTP, agriculture, industrie, tourisme, restauration, théâtres, cinémas, expositions...) et surtout aux exigences des nouveaux protocoles sanitaires inventés par le gouvernement d'Edouard PHILIPPE (Tous sont abusifs, inutiles et n'ont aucune base légale). 

Dès le mois de mars 2020, le gouvernement d'Edouard PHILIPPE a enfin stoppé l'activité industrielle obligeant nombre de PME et de TPE à des cessations d'activité, des dépôts de bilan ou à des recours de prêts bancaires (les fameux PGE - Prêts Garantis par l'Etat) qui atteignent selon la Banque de France 55 milliards d'euros. Sous la pression de Jean-Baptiste DJEBBARI, Secrétaire d'Etat aux Transports, le gouvernement français a interdit tous les voyages aériens, fermé l'aéroport d'Orly et mis à l'arrêt deux fleurons de l'aéronautique européenne : Airbus et AirFrance-KLM, proposant pour ce dernier sa nationalisation et la fonctionnarisation de ses salariés. La SNCF et la RATP ont ralenti le trafic de leurs TGV et métros parisiens. Monsieur DJEBBARI a ensuite rendu obligatoire le port du masque dans les transports publics et dans les avions sans aucune justification sanitaire puisque avions, TGV et métros sont reconnus pour leur hygiène. Au risque de déstabiliser l'industrie touristique française qui rapporte chaque année 170 milliards d'euros de recettes à l'Etat, le Secrétaire d'Etat Jean-Baptiste LEMOYNE a ensuite ordonné la fermeture de toutes les stations balnéaires, de toutes les plages et de toutes les stations de ski françaises, organisant délibérément la faillite des hôtels, restaurants et commerces qui ne vivent de l'industrie touristique. En 24 heures, le gouvernement a fait fuir 90 millions de vacanciers et de touristes qui viennent en France chaque année. Sur le plan commercial, des marques emblématiques françaises ont été contraintes de déposer leur bilan étant donné l'arrêt total de la consommation. Des milliers de boutiques ont fait faillite. Le marché automobile français a chuté de 72% et celui de la mode vestimentaire de 60%. Des milliers de boutiques ont été cédées pour 1 euro symbolique par le Tribunal de Commerce à des acheteurs sans scrupules, la plupart étrangers. La faillite généralisée de milliers d'entreprise a été organisée délibérément par le gouvernement d'Edouard PHILIPPE. 

Niant l'identité chrétienne de la France - fille aînée de l'Eglise catholique depuis le baptême de Clovis en l'an 496,  Christophe CASTANER, Ministre de l'Intérieur et des Cultes a interdit la célébration des messes, pèlerinages, baptêmes, communions, fiançailles, mariages, processions et obsèques catholiques. Il a fermé de manière autoritariste le Sanctuaire de Notre-Dame de Lourdes, le plus grand centre de pèlerinage catholique français fondé en 1858 et l'accès aux piscines d'eau miraculeuse. Contre l'avis des Français recueillis lors des Etats Généraux de la Bioéthique, le gouvernement d'Edouard PHILIPPE a rendu obligatoire l'Education à la Sexualité pour tous les enfants, défendu la légalisation de la PMA pour toutes, facilité la GPA à l'étranger et financé nombre d'associations LGBT. Il a ordonné le confinement total des personnes âgées dans les EHPAD, leur a interdit toute visite amicale et familiale, et autorisé la légalisation du RIVOTRIL qui est un euthanasiant reconnu. Le taux de mortalité des personnes âgées dans les EHPAD (elles sont 750 000 à ce jour réparties dans 7 400 EHPAD) a explosé en quelques jours (+272% de mortalité dans les EHPAD à Paris en 2020 par rapport à 2019). Chaque décès étant dû désormais, selon le gouvernement, au COVID-19 - alors que beaucoup de personnes âgées, privées d'affection, de visites familiales et amicales, se sont laissées mourir. Honte à ce gouvernement sans foi, ni loi, ni moralité  !

Le 16 mars 2020, un nouveau décret signé du Ministre de l'Intérieur et des Cultes a réglementé les déplacements et restreint de manière considérable la liberté de circulation garantie par l'article 13 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. Christophe CASTANER a ordonné que chaque Français soit muni d'une attestation de déplacement dérogatoire, sous peine d'une amende de 135 euros. 100 000 policiers et gendarmes ont occupé rues et places, militarisant notre pays. 110 000 infractions pour non-respect du confinement ont rapporté en 24 heures 14 millions d'euros à l'Etat français. Un véritable racket fiscal cautionné par le Parlement français. Le nombre de fichés S a explosé (plus de 8000 à ce jour). L'annonce d'un confinement total a vidé Paris de ses habitants. Un sentiment de panique s'est emparé de la capitale. Les Parisiens, apeurés, se sont précipités dans les gares et les aéroports. Un gigantesque exode s'est enclenché : 1,3 million de Franciliens ont quitté la capitale entre le 13 et le 20 mars 2020. La plupart des Français se sont précipités dans les supermarchés, accumulant des victuailles comme si la France entrait dans une économie de guerre et de longue disette. L'exode et la fermeture des commerces ont entraîné une explosion de la délinquance et des cambriolages (+56% en 2020 par rapport en 2019).

En 24 heures, les villes françaises se sont éteintes. Le silence des rues, des avenues et des places a remplacé la joie et la bonne humeur qui règnent habituellement dans les restaurants, sur les terrasses et dans les brasseries françaises. Un climat de suspicion généralisé s'est instauré en raison de l'interdiction gouvernementale des embrassades, des étreintes et de tout contact physique. Il a été conseillé de se tenir à une distance réglementaire d'1 mètre de toute personne en raison de la contagiosité des postillons. Les réunions familiales, amicales, étudiantes, professionnelles ont été proscrites puisque 100% des Français pouvaient être des "porteurs asymptomatiques" du COVID-19. Une novlangue orwelienne est apparue avec des mots inédits : "gestes barrières", "distanciation sociale", "porteurs sains", "cas contacts", "clusters", "asymptomatiques"... Le lavage des mains est devenu obsessionnel pour tous les Français. Des millions de masques, de gels hydro-alcooliques, de tests PCR, de somnifères et d'anti-dépresseurs ont fait la fortune des officines pharmaceutiques (mais surtout de la Chine, usine du monde, qui les fabrique par milliards). En violation de l'égalité républicaine, seul le corps médical a été autorisé à disposer de la gratuité des taxis et des hôtels (payée par l'Etat français). 

Le 20 mars 2020, l'Assemblée Nationale (en fait, 29 députés présents) a voté une loi dictatoriale instaurant un "Etat d'Urgence Sanitaire" qui rompt avec les libertés fondamentales énoncées dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793, dans la Constitution française de 1958 et dans les principes fondateurs de l'Union européenne. Cette loi n°2020-290 du 23 mars 2020 prescrit des mesures limitant radicalement 7 libertés fondamentales : la liberté d'aller et de venir, la liberté d'entreprendre, la liberté de commercer, la liberté de consommer, la liberté de manifester, la liberté de voyager, la liberté religieuse et accorde au 1er Ministre Edouard PHILIPPE le droit de procéder à la réquisition de tout bien et tout service. Désormais le gouvernement français légifère par ordonnances, au sein d'un Conseil de Sécurité secret, sans contrôle parlementaire ni judiciaire. Les trois Chambres - Sénat, Assemblée Nationale et CESE - ont été fermées. La Cour des Comptes est sans présidence. Le Conseil d'Etat est sous le joug du gouvernement d'Edouard PHILIPPE. Le Conseil Constitutionnel présidé par Laurent FABIUS (ex-PS) valide toutes les décisions du gouvernement, même les plus immorales et les plus liberticides. 

Sur ordre du corps préfectoral qui a largement outrepassé ses pouvoirs, de nombreux marchés alimentaires ont été interdits ruinant les maraîchers et les agriculteurs. Des couvre-feux ont été instaurés dans certains villes de 18h à 6h du matin sans aucune justification légale. Le gouvernement français a décidé de manière autoritaire que seuls les commerces alimentaires, les banques, les tabacs et les pharmacies resteraient ouverts, restreignant la vie des Français à leurs instincts primaires :  manger, fumer, télétravailler, se médicamenter, regarder la TV, sports et loisirs étant interdits. D'interminables files d'attente se sont formées devant les commerces, les banques, les bureaux de poste. La vie est devenue majoritairement virtuelle et digitale - le télé-achat, le télé-enseignement, les apéritifs zoom, la Visio-conférence,  la télé-médecine, le drive et le télé-paiement fortement encouragés. Tous les Français ont été invités à acheter un ordinateur et à communiquer via des messageries privées pour la plus grande satisfaction des GAFAM. Les parcs, jardins, squares, berges fluviales, massifs forestiers, plages, sites de randonnées (malgré leur étendue) ont été interdits au public et aux enfants au nom de "l'urgence sanitaire" - concept idéologique utilisé de manière paranoïaque par le gouvernement d'Edouard PHILIPPE pour multiplier les prohibitions, les interdictions, les restrictions, les obligations. En violation flagrante du Code du Travail, des entreprises ont contraint leurs salariés à prendre leurs vacances par anticipation alors que les Français sont assignés à résidence. Enfin, le Secrétaire d'Etat au Numérique Cédric 0 a fait développer une application de surveillance et de délation numérique dite StopCovid, inspirée de celle de la Dictature Communiste Chinoise. Sous prétexte de surveiller les détectés positifs au Covid19 (sur la base de tests PCR non fiables !) et leur entourage, le gouvernement viole délibérément le secret médical et le respect à la vie privée. 

Quelques rares économistes ont alerté le gouvernement français et rappelé que chaque semaine de confinement coûte 16 milliards d'euros à la France et entraîne la suppression de 70 000 emplois, que la dette française atteindrait 110% du PIB à la fin de l'année 2020, que le déficit budgétaire avoisinerait les 250 milliards d'euros et celui de la Sécurité Sociale de 52 milliards d'euros, qu'il faudrait emprunter 1 milliard d'euros par jour pour financer le chômage et les aides étatiques.La faillite de milliers d'entreprises, la multiplication des licenciements, la hausse du chômage amèneraient la France tout droit à une banqueroute. Car les liquidités massivement injectées par les grands argentiers de la planète renforcent la dépendance de notre pays face aux créanciers étrangers. Des pédiatres ont alerté Adrien TAQUET, Secrétaire d'Etat à l'Enfance, sur les risques dramatiques que le confinement, la sédentarité, la dés-instruction nationale entraîneraient sur la santé mentale et physique des enfants et des graves traumatismes qui en résulteraient. La privation de soleil, de lumière, de sport, de relations amicales, d'activités physiques, de promenades extérieures associée au stress du confinement ne peuvent qu'abîmer profondément la santé des enfants et peuvent créer, sous l'effet des privations, des dépressions et des défaillances cardiaques, voire des suicides. Des pédiatres ont rappelé que le tout-écran détériore la vue et la croissance des enfants, affaiblit leur système immunitaire, provoque des anémies et des autismes. Le gouvernement d'Edouard PHILIPPE n'a rien voulu entendre et a durci sa propagande médiatique. Désormais, les journaux et les chaînes TV (largement subventionnés par le gouvernement français ) consacrent 100% de leurs éditions et de leurs journaux télévisés au COVID-19 et n'interviewent que des "autorités sanitaires" rigoureusement sélectionnées pour encenser les décisions gouvernementales. Pendant le confinement, les Français ont passé 6 heures en moyenne par jour devant la télévision pour la plus grande satisfaction des chaînes TV et beaucoup d'enfants ont développé une addiction maladive à la télévision, aux jeux vidéos et aux réseaux sociaux. Le trafic de drogue a explosé ainsi que la consommation de cannabis (900 000 consommateurs réguliers en France). La natalité a enregistré son plus faible taux depuis 1945. Qui en envie de faire des bébés dans un contexte pareil ? Quant à la censure des personnalités politiques ou médicales qui ont osé contester l'utilité et l'amoralité du confinement, elle n'a jamais été aussi forte durant l'Etat d'Urgence Sanitaire. Les réseaux sociaux de personnalités jugées complotistes, dissidentes ou subversives (c'est à dire opposées à l'Etat d'Urgence Sanitaire et aux restrictions sanitaires) ont été fermés et censurés. De grands professeurs de médecine, qui ont dénoncé le scandale du confinement et du masquage du visage, ont même été internés dans des asiles psychiatriques. 

Sous la pression du Conseil Scientifique présidé par le Professeur Jean-François DELFRAISSY (Conseil scientifique qui n'a aucune base légale), le gouvernement d'Edouard PHILIPPE a annoncé renforcer le confinement total du Peuple français jusqu'au 11 mai 2020 et l'Etat d'Urgence Sanitaire jusqu'en décembre 2022. Souhaitant "protéger" le peuple français d'un virus mortel et invisible (ce qui est mensonger), il a décidé de le priver de ses libertés les plus fondamentales et de mettre à l'arrêt l'économie française. Les syndicats et les 35 000 maires se sont soumis, au mépris des Français, à ces consignes anti-constitutionnelles. Certains, en violation de la loi du 11 octobre 2010 qui précise que "nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage", ont imposé le port obligatoire du masque à leurs collaborateurs, à leurs agents municipaux et même aux enfants dès l'âge de 6 ans alors que l'on sait que le port du masque est à l'origine de graves affections dermatologiques et respiratoires et peut provoquer des crises d'asthme ou des phénomènes autistiques. Sur le plan psychologique, le port du masque cause d'importantes perturbations psychiques : aphasie, bégaiement, dépression, paranoïa, psychose, autisme. Par ailleurs, il est prouvé médicalement qu'il n'y a aucun risque d'attraper le COVID 19 en plein air. La loi du 11 octobre 2010 avait été instaurée pour faire interdire le port du niqab islamique en France. Elle est donc remise en cause par le gouvernement et des chefs d'entreprise soumis aux diktats d'une technocratie obsédée d'hygiénisme. Quant aux médecins de ville, ils n'ont pas le droit de contester le port du masque, de prescrire certains médicaments, de critiquer la stratégie sanitaire gouvernementale sous peine d'être radiés de l'Ordre National des Médecins. Quant à la campagne vaccinale contre le Covid 19, elle a été intensive alors que de grands généticiens ont déclaré que le vaccin anti-COVID était susceptible de provoquer des thromboses, des cancers, des stérilités, des AVC car personne ne sait l'impact réel du vaccin anti-COVID à base d'ARN Messager sur le système immunitaire des vaccinés.  

Pour résister à la violence de la propagande médiatique et de la paranoïa gouvernementale, il a fallu aux soi-disants complotistes une force psychique hors du commun pour parvenir à garder un raisonnement sain dans une société qui devient folle, où l'inversion des valeurs est légalisée, où la vérité est travestie en mensonge, où le masquage du visage est obligatoire, où les médias ont perdu toute objectivité, où les vertueux sont calomniés par des pervers et des sadiques, tandis que le gouvernement d'Edouard PHILIPPE exerce une terreur indécente au nom du Bien du peuple français et au nom de "jolis idéaux" comme "protégeons nos aînés" et "OUI, le vaccin anti-Covid est la clé de notre liberté". Ceux qui ont résisté à la tyrannie covidiste disposent tous d'une profondeur émotionnelle, d'une autonomie interne et de belles références morales. Ce sont les premiers qui ont appelé à la désobéissance civile face à l'abus de pouvoir du gouvernement d'Edouard PHILIPPE en invoquant le respect de l'Etat de Droite et un idéal humain de liberté et de justice. Face à la tyrannie sanitaire, la désobéissance civile est vitale. 

En tant qu'élue à Saint-Germain-en-Laye (78), je demande solennellement au Défenseur des Droits ainsi qu'aux Présidents du Sénat, de l'Assemblée Nationale, du CESE et du Conseil Constitutionnel de dénoncer l'iniquité de cet Etat d'Urgence Sanitaire ainsi que l'illégalité de ces décrets, arrêtés, protocoles successifs qui institutionnalisent, au nom du COVIDISME, un régime tyrannique de restriction des libertés individuelles et collectives. Au nom de l'intérêt supérieur des Français et de leurs enfants, je demande solennellement la fin du confinement généralisé, la fin de l'Etat d'Urgence Sanitaire, la fin du couvre-feu, la fin de la campagne vaccinale Anti-Covid et l'interdiction du port du masque partout et en tous lieux - le port du masque n'ayant aucune justification sanitaire étant donné la faible contagiosité du COVID-19. Les Français doivent reprendre le travail, refuser la sédentarité imposée, refuser le port du masque, refuser le vaccin anti-COVID et réclamer le respect de l'Etat de Droit et de la Démocratie. 

La mise en place d'une véritable tyrannie sanitaire a entraîné une grave récession économique - la plus grave depuis 1945. Il est légitime que beaucoup d'élus et de Français réclament la démission urgente du gouvernement d'Edouard PHILIPPE qui a failli à sa mission en restreignant nombre de libertés fondamentales et qui a gravement endetté le pays (la dette publique atteint 2700 milliards d'euros en 2020).

Espérant être entendue par le Parlement français.

Agnès Cerighelli 
Cheffe de fil de la Résistance Française.
Elue à Saint-Germain-en-Laye (78)

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